Rudolf Grunder from Landi Seebachtal on this year’s asparagus season in Switzerland
«Promotions with imported asparagus have depressed demand for the domestic product»
Due to the wet weather, some asparagus farms in Switzerland have had to end their harvest earlier. «For us, 15 June tends to be the deadline for the end of the season. Hardly anyone in our region will harvest beyond this date this year. Overall, this year’s harvest volumes are slightly below last year’s level. Although the early covered crops started a little earlier, periods of low temperatures and waterlogging slowed down the growth of the asparagus, which is why larger quantities of outdoor crops could only be harvested after a delay. In some places, we even had to accept frost-related losses, although the quality was very good throughout the season,» summarises Rudolf Grunder, Managing Director of Landi Seebachtal, one of the leading marketers of Swiss asparagus.Demand has been high and stable for the most part right from the start, continues Grunder. This is particularly true in the last few weeks of the season. «Unfortunately, there were promotions with imported products in the retail trade during the two main harvest weeks, which in turn depressed demand for local asparagus at an unfavourable time. In terms of price, we have a good situation in Switzerland. A working group consisting of representatives from production and trade sets the prices for the next season in autumn. A higher price applies before the main harvest in order to compensate producers for their additional costs. The price change is then determined by the working group during the season, depending on the weather situation. The majority of the sector adheres to these guide prices.» However, there is no border protection for asparagus in Switzerland. According to Grunder, there is therefore always a certain amount of price competition with imported goods.
Rudolf Grunder (left) with his cooperation partner Christoph Sterk from Sterk Spargelpflanzen at expoSE 2023. The asparagus expert emphasises that the regeneration of asparagus plants is always very important.
Green asparagus is growing strongly
Green asparagus is also becoming increasingly important in Switzerland. «The area under cultivation is around 460 hectares, with green asparagus accounting for just over 60 per cent. The proportion of local asparagus sold throughout the year is just 7 per cent,» says Grunder. In years with ideal growing conditions, demand can be met with the domestic production volume. However, due to the lack of import protection, the growth potential of domestic asparagus is limited. «Nevertheless, the willingness and commitment of domestic food retailers to offer domestic asparagus during the season is very high. Despite the considerable price differences, Swiss asparagus is in high demand among consumers.» In addition to sales via the domestic food retail trade, the local fine vegetables are also marketed in the wholesale trade and in farm-gate sales.
Landi Seebachtal sees itself primarily as a competence centre and is also heavily involved in the marketing of asparagus plants in close cooperation with the Franconian plant propagator Sterk. In addition, the centre also works with the cantonal specialist agencies to provide further training and advice to growers. «A direct exchange of experience between producers is very important. This also includes our annual presence at expoSE in Karlsruhe. We provide technical support to existing producers and newcomers. Acquisition is also part of this, especially when there are changes in the region as part of the generational transition. Thanks to our marketing centre, interest in asparagus cultivation on the producer side is encouragingly high,» concludes Grunder.
Les producteurs d’asperges tirent un bilan mitigé à l’occasion de la Saint-Jean :
« La saison a été celle des extrêmes »
La saison de commercialisation des asperges se termine habituellement aujourd’hui, le jour de la Saint-Jean (24 juin). Mais, cette année, en raison du début précoce de la saison, de nombreux producteurs se sont retirés très tôt du marché. Dans le cadre de la fin officielle de la saison, FreshPlaza.de revient sur la campagne de l’année.Bavière : la récolte s’est achevée deux semaines plus tôt que la normale
« Cela a été une année moyenne », résume Karl-Heinz Bernard, vice-président de l’association des producteurs d’asperges de Franconie, interrogé par BR24 à propos de la saison des asperges de cette année. Les producteurs d’asperges de Basse-Franconie sont satisfaits. La saison a commencé très tôt. Les premières tiges ont pu être plantées dès le début du mois d’avril. C’est pourquoi la plupart des producteurs d’asperges de Basse-Franconie ont terminé la saison il y a une semaine déjà, vers le 10 juin.
Saxe-Anhalt : la surface cultivée en asperges continue de diminuer
En 2023, les exploitations agricoles de Saxe-Anhalt ont récolté 1 489 tonnes d’asperges au total. Comme l’indique l’Office régional des statistiques, 30 exploitations (32 en 2022) ont cultivé des asperges en Saxe-Anhalt sur une surface totale de 322 ha. À cela s’ajoutent 115 ha sur lesquels les asperges ne sont pas en production. Alors que les surfaces cultivées en rendement ont continuellement diminué depuis 2015, les surfaces non-productives ont également diminué pour la première fois depuis 4 ans (2022 : 190 ha). Le rendement moyen par hectare s’est élevé à 46 dt/ha, soit juste au-dessus des 45 dt/ha de la moyenne sur 6 ans.
Rhénanie-du-Nord-Westphalie : équilibre entre l’offre et la demande
Peu avant la fin de la saison, le secteur de l’asperge en Rhénanie-du-Nord-Westphalie s’est montré relativement satisfait des résultats de la récolte de l’année. « Les conditions météorologiques durant la saison ont été adaptées à l’asperge. Elle n’aime ni trop le froid ni trop la chaleur ; elle a donc été bien en mesure de pousser. L’offre a parfaitement répondu à la demande, car les asperges ont été consommées en quantité colossale, notamment pendant les fêtes de mai », écrit la chambre d’agriculture dans une rétrospective de la saison.
Hesse : une saison des extrêmes
En termes de rendement et de ventes, la saison des asperges 2024 en Hesse a été plutôt inférieure à la moyenne, voire carrément médiocre. C’est le bilan que vient de dresser l’association des agriculteurs de Hesse lors de la fin officielle de la récolte le 24 juin. Les pluies incessantes ont également durement touché les plantations d’asperges de l’agriculteur hessois, Stephan Funk. « Ça fait mal », dit Funk. « Le sol était déjà bien détrempé avant et ne pouvait pratiquement plus absorber d’eau. Celle-ci ne pouvait alors plus s’écouler non plus », raconte-t-il en montrant les photos où il se tient debout, en bottes de caoutchouc, dans l’eau qui atteint par endroits jusqu’à 40 centimètres de profondeur entre les digues de protection contre les inondations. « Ce fut une saison des extrêmes », résume-t-il brièvement la situation.
Baden : les prix élevés des asperges freinent les ventes
Pour de nombreuses personnes, les prix des asperges étaient particulièrement élevés, observe le marchand d’asperges Walter Borel : « La plupart lèvent le nez quand ils voient les prix pratiqués et passent leur chemin ». Il comprend cela : « Il faut compter dix euros le kilo ; c’est beaucoup d’argent. Les clients à l’âge de la retraite ne peuvent pas toujours se le permettre. Pour Borel, les prix élevés des asperges s’expliquent d’une part par l’augmentation des salaires, mais aussi par l’augmentation du prix des engrais. Les inondations et les pluies abondantes sont une autre raison de la hausse des prix. Ces facteurs ont fait grimper les prix. »
Thuringe : « Ne pas récolter les asperges »
Après un début de saison précoce, la récolte d’asperges de Thuringe se termine également particulièrement tôt cette année, confirme Stefan Klingshirn, chef de la ferme d’asperges Klingshirn à Brahmenau dans le district de Greiz. « Cette année, nous avons commencé à piocher le 3 avril pour terminer la récolte le 8 juin. Nous avons dit que nous n’irions pas jusqu’au 24, car nous désirons aussi avoir quelque surplus de nos plantes l’année prochaine et ne pas les sur-récolter. » Ici, les asperges sont par conséquent déjà épuisées. Les plants d’asperges sont maintenant soignés et entretenus pour qu’ils donnent, espérons-le, un bon rendement l’année prochaine. L’agriculteur explique qu’il est déjà satisfait de la production de cette année : « Nous avons certes eu beaucoup de pluie par moments, mais nous ne produisons pas de vastes quantités. Nous recherchons une excellente qualité et nos clients apprécient cela. Nous nous en sommes très bien sortis cette année. »
Brandebourg : un bilan final satisfaisant
La ferme d’asperges de Kremmen a dernièrement cueilli des pousses d’asperge sur environ 13 hectares de sa surface totale qui en compte environ 200. Dès le 26 mars, les premières parcelles précoces ont pu être récoltées. « Nous sommes particulièrement satisfaits de la saison », déclare le directeur Malte Voigts. C’est surtout en mai que la gastronomie a tourné à plein régime ; les restaurants ont été « bien fréquentés », dit le chef.
Schleswig-Holstein : des prix pour la plupart au niveau de l’année précédente
Les producteurs d’asperges du Schleswig-Holstein ont connu une saison ordinaire. Ils tirent un bilan satisfaisant, comme l’a annoncé jeudi la chambre d’agriculture. Des températures assez régulières et modérées, avec peu de journées chaudes, ont permis d’obtenir de très bonnes qualités et des volumes continus tout au long de la saison. Toutefois, les travaux de printemps dans les champs ont été retardés par une humidité persistante. En raison de la date précoce de Pâques, seules quelques petites quantités d’asperges du Schleswig-Holstein ont été proposées pendant les festivités. En avril et mai, la commercialisation, qui s’effectue à 90 % par vente directe dans le Land le plus au nord, s’est déroulée de manière satisfaisante. Selon la chambre d’agriculture, la tendance des clients à acheter les asperges principalement le week-end s’est poursuivie. Les prix sont restés relativement stables tout au long de la saison, au même niveau que l’année précédente.
Rudolf Grunder, Landi Seebachtal (Suisse) à propos de la saison des asperges :
« Les promotions sur les asperges importées ont fait baisser la demande de produits locaux »
En raison de l’humidité, certaines exploitations d’asperges de Suisse ont dû terminer leur récolte prématurément. « Chez nous, le 15 juin est plutôt la date limite pour la fin de la saison. Dans notre région, presque personne ne récoltera cette année au-delà de cette date. Globalement, les quantités récoltées cette année sont légèrement inférieures à celles de l’année précédente. Le démarrage des cultures sous abri précoces a certes commencé un peu plus tôt, mais les phases météorologiques avec des températures basses et de l’humidité stagnante ont freiné la croissance des asperges, raison pour laquelle de vastes quantités de cultures en plein champ n’ont pu être récoltées qu’avec du retard. En certains endroits, il a même fallu faire face à des pertes liées au gel, bien que la qualité ait été excellente tout au long de la saison », résume Rudolf Grunder, directeur de Landi Seebachtal, l’un des leaders de la commercialisation des asperges suisses.La demande a été particulièrement élevée et stable dès le début, poursuit Grunder. Cela vaut en particulier pour les dernières semaines de vente de la saison. « Malheureusement, les deux principales semaines de récolte ont été marquées par des promotions de produits importés chez les détaillants, ce qui a fait baisser la demande d’asperges locales à un moment défavorable. Du point de vue des prix, la situation est favorable en Suisse. Un groupe de travail composé de représentants de la production et du commerce détermine dès l’automne les prix pour la saison suivante. Avant la récolte principale, un prix plus élevé est appliqué afin de dédommager les producteurs pour leurs dépenses additionnelles. Le changement de prix est ensuite fixé par le groupe de travail en cours de saison, suivant la situation météorologique. Ces prix indicatifs sont respectés par la majorité de la branche. » Dans le domaine des asperges, il n’y a toutefois pas de protection à la frontière en Suisse. Par conséquent, une certaine concurrence des prix avec la marchandise importée est toujours perceptible, explique Grunder.
Rudolf Grunder (à gauche) avec son partenaire commercial Christoph Sterk de Sterk Spargelpflanzen à l’expoSE 2023. L’expert en asperges souligne que la régénération des plantes d’asperges revêt toujours une importance majeure
Forte progression de l’asperge verte
En Suisse également, l’asperge verte a tendance à gagner en importance. « La surface cultivée est d’environ 460 hectares, dont un peu plus de 60 % d’asperges vertes. Sur l’ensemble de l’année, la part d’asperges locales dans les ventes n’est que de 7 % », précise Grunder. Les années où les conditions de croissance sont idéales, la demande peut être couverte par le volume de production national. En raison de l’absence de protection contre les importations, le potentiel de croissance des asperges nationales est toutefois limité. « Néanmoins, la volonté et l’engagement du commerce alimentaire de détail du pays à proposer des asperges locales pendant la saison sont extrêmement importants. Malgré les différences de prix considérables, les asperges suisses sont particulièrement demandées par les consommateurs. » Outre la vente par le biais du commerce alimentaire de détail national, les légumes nobles locaux sont commercialisés en complément dans le commerce de gros ainsi que dans le cadre de la vente à la ferme.
Landi Seebachtal se considère en premier lieu comme un centre de compétences qui s’engage fortement dans la commercialisation des plants d’asperges en étroite coopération avec le multiplicateur de plantes franconien Sterk. De plus, en collaboration avec les services spécialisés des cantons, le centre s’efforce également d’assurer la formation continue et le conseil aux producteurs. « L’échange direct d’expériences entre les producteurs est très important. Notre présence annuelle à l’expoSE de Karlsruhe y contribue également. Les producteurs existants et les nouveaux venus bénéficient de notre soutien technique. Le démarchage constitue également un aspect crucial, notamment lorsque des changements interviennent dans la région dans le cadre du changement de génération. Grâce à notre centre de commercialisation, l’intérêt pour la culture de l’asperge est réjouissant du côté des producteurs », conclut Grunder.
Concluye la temporada de espárrago de Michigan esta semana
Michigan encara la última semana de envíos de espárragos. «Empezamos un poco temprano este año, así que probablemente por eso hayamos movido un poco más de volumen», dice Trish Taylor, gerente de marketing de Riveridge Produce Marketing, Inc., y añade que el estado está terminando más o menos en fechas habituales.
El adelanto de la temporada de espárragos responde a una primavera más cálida de lo habitual en Michigan. En cuanto al tamaño de la cosecha, es similar a la del año pasado.
También en lo que se refiere a la demanda, ha sido la acostumbrada. «Hemos podido despachar un poco más de producto porque los retailers que dependen del espárrago de otras regiones del mundo pudieron recurrir antes a Michigan. En general, siempre y cuando esté disponible, todo el mundo prefiere el producto local», afirma Taylor, que señala que esta hortaliza suele cultivarse en los suelos arenosos de las orillas del lago Michigan. «Que el producto sea de proximidad ayuda a mantener más bajos los costes de transporte, porque no se envía tan lejos y es fresco».
Michigan y sus espárragos
Como producto básico, el espárrago es un gran negocio en Michigan. «Somos el estado que más espárragos cultiva y contamos con un sólido centro de investigación», afirma, pues en el centro de investigación se prueban más de 50 variedades. Allí pueden determinarse cuáles son las mejores variedades para el clima de Michigan, pero también para un clima cambiante. «También pueden trabajar para contentar a los paladares del consumidor», explica.
También señala que el estado recoge los espárragos a mano. «Los recolectores, a lomos de la cosechadora, los cortan a mano en su punto natural de rotura. En gran parte, es algo exclusivo de Michigan», dice Taylor.
En cuanto al panorama general de los productos básicos en Michigan, Taylor dice que casi todos los productores de espárragos en el estado tienen una cosecha diversa. «Los ingresos procedentes de las ventas de espárragos ayudan a financiar el resto de sus temporadas de cultivo; la mayoría de ellos son fruticultores que cultivan melocotones, cerezas o manzanas», afirma Taylor, y apunta que los precios de este año son similares a los de 2023.
Asparagus farmers draw a mixed balance on St John’s Day
«It was a season of extremes»
Today, St John’s Day (24 June), traditionally marks the end of the asparagus marketing season. However, due to the early start to the season, many producers withdrew from the market early this year. As part of the official end of the season, FreshPlaza.de looks back at this year’s campaign.Bavaria: Harvest ends two weeks earlier than usual
«It was a good, average year,» says Karl-Heinz Bernard, Deputy Chairman of the Franconian Asparagus Growers’ Association, summarising this year’s asparagus season in response to a question from BR24. The asparagus farmers in Lower Franconia are satisfied. The season started very early. The first spears were harvested as early as the beginning of April. As a result, most Lower Franconian asparagus growers had already finished the season a week ago, around 10 June.
Saxony-Anhalt: Asparagus cultivation area continues to decline In 2023, farms in Saxony-Anhalt harvested a total of 1,489 tonnes of asparagus. According to the State Statistical Office, 30 farms in Saxony-Anhalt (2022: 32 farms) cultivated asparagus on a total area of 322 ha. In addition, there were 115 ha on which asparagus was not in production. While the area under cultivation in yield has decreased continuously since 2015, the area not in yield has also decreased for the first time in 4 years (2022: 190 ha). The average yield per hectare was 46 dt/ha, just above the 6-year average of 45 dt/ha.
NRW: supply and demand in balance
Shortly before the end of the season, the asparagus sector in North Rhine-Westphalia was quite satisfied with this year’s harvest results. «The weather during the season was perfect for asparagus. It doesn’t like it too cold or too hot and was therefore able to grow well. The supply matched the demand very well, as a lot of asparagus was eaten, especially during the public holidays in May,» writes the Chamber of Agriculture in a review of the season.
Hesse: ‘Season of extremes’ The 2024 asparagus season in Hesse was slightly below average to average in terms of yield and sales. This was the conclusion drawn by the Hessian Farmers’ Association at the official end of the harvest on 24 June. Persistent rain also hit the asparagus plants of Hessian farmer Stephan Funk hard. «That really hurts,» says Funk. «The soil was already very soaked beforehand and could hardly absorb any more water. It couldn’t drain away any more,» he explains, showing the pictures of him standing in rubber boots in water that was up to 40 centimetres deep in places between the asparagus ridges. «It was a season of extremes.»
Baden: High asparagus prices put the brakes on sales Asparagus prices were too high for many people, observes asparagus trader Walter Borel: «Most people turn up their noses when they see the prices and walk away.» He understands this: a kilo from ten euros is a lot of money. Retired customers in particular can’t always afford it. Borel explains the high prices for asparagus on the one hand by higher wages – on the other hand, fertilisers have become more expensive. Another reason for the high prices was the flooding and all the rain. This has also driven up prices.
Thuringia: ‘Do not overharvest asparagus fields’
After the early start to the season, the Thuringian asparagus harvest is also coming to an end relatively early this year, confirms Stefan Klingshirn, head of the Klingshirn asparagus farm in Brahmenau in the Greiz district. «We started harvesting asparagus on 3 April this year and finished on 8 June. We said we wouldn’t go on until the 24th, because we want to have something from our plants next year and not overharvest them.» Accordingly, the asparagus is already sold out here. The asparagus plants are now being nurtured and cared for so that they will hopefully produce a good yield next year as well. However, the farmer explains that they were already satisfied with this year’s yield: «We had a lot of rain from time to time, but we don’t go for quantity. We need good quality and our customers appreciate that too. We did very well this year.»
Brandenburg: Satisfactory final balance
The Kremmen asparagus farm recently harvested asparagus on around 13 hectares of the 200 hectares of land under cultivation. The first early plots were harvested on 26 March. «We are very satisfied with the season,» says Managing Director Malte Voigts. Especially in May, the catering trade was running at full speed; the restaurants were «well frequented.»
Schleswig-Holstein: Prices mostly at the previous year’s level
Asparagus farmers in Schleswig-Holstein have had an average season. They can draw a satisfactory balance, as the Chamber of Agriculture announced on Thursday. Relatively even and moderate temperatures with few hot days had ensured very good quality and consistent quantities throughout the season. However, spring work in the fields was delayed due to prolonged wet conditions. Due to the early date of Easter, only small quantities of asparagus were available from Schleswig-Holstein during the public holidays. In April and May, marketing, 90 per cent of which was direct in the northernmost federal state, was satisfactory. According to the Chamber of Agriculture, the trend of customers mainly buying asparagus at the weekend continued. Prices remained relatively stable at the previous year’s level throughout the season.
Los productores alemanes de espárragos hacen un balance desigual de la campaña
«Ha sido una temporada de extremos»
El día de San Juan (24 de junio) marca tradicionalmente el final de la temporada de comercialización del espárrago. Sin embargo, debido al temprano comienzo de la temporada, muchos productores se retiraron del mercado antes de tiempo este año. Con motivo del final oficial de la temporada, FreshPlaza.de hace un repaso de la campaña de este año.Baviera: la cosecha termina dos semanas antes de lo habitual
«Ha sido un año bueno, dentro de la media», así resume Karl-Heinz Bernard, vicepresidente de la Asociación de Cultivadores de Espárragos de Franconia, la campaña de espárragos de este año en respuesta a una pregunta de BR24. Los productores de espárragos de la Baja Franconia están satisfechos. La temporada empezó muy pronto. Los primeros turiones se cosecharon a principios de abril. Por ello, la mayoría de los productores ya habían terminado la temporada hace una semana, en torno al 10 de junio.
Sajonia-Anhalt: la superficie de cultivo de espárragos sigue disminuyendo
En 2023, las explotaciones de Sajonia-Anhalt cosecharon un total de 1.489 toneladas de espárragos. Según la Oficina Estatal de Estadística, 30 explotaciones de Sajonia-Anhalt (2022: 32 explotaciones) cultivaban espárragos en una superficie total de 322 ha. Además, había 115 ha en las que no se producían espárragos. Mientras que la superficie cultivada en rendimiento ha disminuido continuamente desde 2015, la superficie no en rendimiento también ha disminuido por primera vez en 4 años (2022: 190 ha). El rendimiento medio por hectárea fue de 46 dt/ha, justo por encima de la media de 6 años de 45 dt/ha.
Renania del Norte-Westaflia: oferta y demanda en equilibrio
Poco antes del final de la campaña, el sector del espárrago de Renania del Norte-Westfalia se mostraba bastante satisfecho con los resultados de la cosecha de este año. «El tiempo durante la temporada fue perfecto para el espárrago. No le gusta ni el frío ni el calor, por lo que pudo crecer bien. La oferta se ajustó muy bien a la demanda, ya que se consumieron muchos espárragos, sobre todo durante los días festivos de mayo», escribe la Cámara de Agricultura en un balance de la temporada.
Hesse: «temporada de extremos»
La campaña de espárragos 2024 en Hesse se situó ligeramente por debajo de la media en cuanto a rendimiento y ventas. Esta fue la conclusión a la que llegó la Asociación de Agricultores de Hesse al finalizar oficialmente la cosecha el 24 de junio. La lluvia persistente también afectó duramente a las plantas de espárragos del agricultor de Hesse Stephan Funk. «Eso sí que duele», afirma Funk. «El suelo ya estaba muy empapado de antemano y apenas podía absorber más agua. Ya no podía drenar más», explica, mostrando las fotos en las que se le ve de pie con botas de goma metido en el agua a hasta 40 centímetros de profundidad en algunos lugares entre los caballones de los espárragos. «Ha sido una temporada de extremos», resume sucintamente la situación.
Baden: los altos precios del espárrago frenan las ventas
Los precios de los espárragos han sido demasiado altos para mucha gente, observa el comerciante de espárragos Walter Borel: «La mayoría de la gente se sorprende cuando ve los precios y se marcha». Borel lo entiende: un kilo a partir de diez euros es mucho dinero. Los clientes jubilados, en particular, no siempre pueden permitírselo. Borel explica los elevados precios del espárrago, por un lado, por la subida de los salarios; por otro, los abonos se han encarecido. Otro motivo de los altos precios son las inundaciones y las lluvias.
Turingia: «no cosechar en exceso los campos de espárragos»
Tras el temprano comienzo de la temporada, la cosecha de espárragos de Turingia también llega a su fin relativamente pronto este año, confirma Stefan Klingshirn, jefe de la explotación de espárragos Klingshirn, en Brahmenau, en el distrito de Greiz. «Empezamos a cosechar espárragos el 3 de abril de este año y terminamos el 8 de junio. Dijimos que no seguiríamos hasta el 24, porque queremos que nos queden plantas para el año que viene y no cosecharlas en exceso». En consecuencia, los espárragos ya se han agotado. Ahora, las plantas de espárrago se están cuidando y mimando para que, con un poco de suerte, produzcan una buena cosecha también el año que viene. Sin embargo, el agricultor explica que ya estaban satisfechos con la producción de este año: «Hemos tenido mucha lluvia de vez en cuando, pero no producimos por cantidad. Necesitamos buena calidad y nuestros clientes también lo aprecian. Este año nos ha ido muy bien».
Brandeburgo: balance final satisfactorio
La explotación de espárragos de Kremmen ha cosechado recientemente espárragos en unas 13 hectáreas de las 200 cultivadas. Las primeras parcelas tempranas se cosecharon el 26 de marzo. «Estamos muy satisfechos con la temporada», afirma el gerente Malte Voigts. Especialmente en mayo, la hostelería funcionó a pleno rendimiento; los restaurantes estuvieron «muy frecuentados», afirma el jefe.
Schleswig-Holstein: los precios se mantienen en su mayoría al nivel del año anterior
Los productores de espárragos de Schleswig-Holstein han tenido una temporada media. Pueden hacer un balance satisfactorio, según anunció el jueves la Cámara de Agricultura. Las temperaturas relativamente uniformes y moderadas, con pocos días calurosos, han garantizado una calidad muy buena y cantidades constantes durante toda la campaña. Sin embargo, el trabajo de primavera en los campos se retrasó debido a las prolongadas condiciones de humedad. Debido al adelanto de la Semana Santa, en Schleswig-Holstein solo se pudieron adquirir pequeñas cantidades de espárragos durante los días festivos. En abril y mayo, la comercialización, directa en un 90% en el estado federado más septentrional, fue satisfactoria. Según la Cámara de Agricultura, se mantuvo la tendencia de los clientes a comprar espárragos principalmente durante el fin de semana. Los precios se mantuvieron relativamente estables al nivel del año anterior durante toda la campaña.
Christian Befve : « Les asparagiculteurs doivent replanter maintenant pour répondre à la demande de demain ! »
Asperge : vers une sortie imminente de la crise ?
Diminution des surfaces de production, baisse des rendements, prix consommateurs trop élevés, consommation en berne… c’est un tableau plutôt sombre qui se dresse au niveau mondial pour l’asperge depuis quelques années maintenant. Mais il se pourrait bien que ce légume printanier voie enfin le bout du tunnel. Christian Befve, expert de renommée internationale, aborde avec sérénité l’avenir de la production, tant sur le plan national que mondial.
Une production française « qui ne s’en sort pas si mal » Bien que la France ait encore accusé le coup d’une saison mitigée cette année, le bilan reste tout de même moins tranché que pour certains pays frontaliers : « L’Allemagne, l’Italie, l’Espagne ou même la Grèce qui bénéficiaient jusqu’à présent d’une main d’œuvre moins onéreuse, ont vu son coût augmenter drastiquement cette année et ont ainsi eu du mal à réagir. Contrairement à la France, qui, concernée par cette problématique depuis de nombreuses années, avait déjà entrepris une mécanisation de la filière. Si bien que cette année, les surfaces en France sont quasiment identiques à celles de l’an passé contrairement à beaucoup d’autres pays producteurs ».
Une baisse des rendements au niveau mondial
Constat général encore pour cette saison 2024, une baisse de rendement au niveau mondial. En cause, les perturbations climatiques comme El Nino au Pérou ou encore de trop fortes précipitations et des températures trop fraîches en Europe, mais pas que… « Nous faisons face à une baisse de 20 à 30 % de moins de rendement par hectare. Bien sûr, le climat a sa part de responsabilité, mais je pense aussi qu’il y a eu un relâchement général au niveau de la veille technologique et de l’anticipation, qui a abouti à une baisse de production à l’hectare. Dans ce métier, complexe et particulièrement technique, si l’on pense savoir en se reposant sur ses lauriers, on se fait dépasser ».
Le cas du Pérou Un constat illustré par l’expérience du Pérou qui est passé de 30 000 hectares de production à 18 000 en l’espace de quelques années : « J’ai accompagné les pionniers de l’asparagiculture au Pérou jusqu’à suivre 80 % de la production péruvienne. Peu à peu, ils se sont approprié les techniques pour monter jusqu’à 20 T/ha jusqu’à descendre quelques années plus tard à 12 T /ha. Le danger, c’est lorsque l’on pense savoir. Dans un monde agricole en perpétuelle évolution, il faut toujours rester dans une dynamique d’anticipation et d’adaptation aux changements. Et je crois qu’il est toujours possible d’inverser la tendance avec un plan drastique de redressement. C’est le cas d’un producteur péruvien qui m’avait sollicité parce qu’il avait vu chuter ses volumes de production. Au bout de trois années seulement, il a vu son rendement passer de 9 à 19 T/ha ».
« De manière générale, je suis convaincu qu’avec de bonnes recommandations, et dans le même contexte climatique que nous connaissons, il est possible d’augmenter de 20 % son rendement à l’hectare ».
Des prix consommateurs trop élevés Si côté production, il existe un certain nombre d’outils pour soutenir les asparagiculteurs, une sortie de crise ne se fera pas sans une remise en question des prix consommateurs pratiqués : « Les difficultés que la filière asperge a connu cette saison sont en partie due à des prix de ventes en magasin beaucoup trop élevés. Dans ce contexte inflationniste, le consommateur est plus regardant sur le prix des produits qu’il achète. Ce n’est pas normal qu’un kilo d’asperges revienne plus cher que des fruits exotiques ou équivaille au prix de celui de la viande. Certes, l’asperge a toujours été un produit haut-de-gamme, mais il y a un prix plafond que le consommateur, même qui a les moyens, n’est pas prêt à dépasser. Je pense que pour atteindre un bon équilibre, l’asperge doit être vendue à 6-7 euros/kilo en moyenne au départ de l’exploitation. Mais des prix affichés à 17 euros/kilo n’incitent clairement pas à la consommation. Une remise en question de la distribution sur les marges pratiquées est nécessaire. L’asperge ayant des coûts de production bien plus élevés que la pomme de terre, il semble logique d’y attribuer une marge au kilo et non en pourcentage de prix. Après tout, le travail effectué pour mettre de l’asperge en rayon est le même que pour mettre de la pomme de terre. Pourtant, les marges attribuées sont décuplées ».
Vers une production mondiale de 15 à 25 % supplémentaire pour 2025 Pour dynamiser la consommation, il faudrait donc revoir les prix de vente qui, dans une logique de rapport offre/demande, devraient diminuer face à une production plus soutenue : « Je crois sincèrement que la tendance s’inversera dès la saison prochaine. L’histoire de l’asperge suit des cycles de 10 à 12 ans qui se ponctuent par une crise. Et au-delà de 250 000 hectares de plantations au niveau mondial, il y a trop d’asperges. Depuis, les surfaces ont diminué jusqu’à atteindre 190 000 hectares. Autrement dit, nous sommes au creux de la vague et le marché va se redresser. Voilà pourquoi j’incite les producteurs à planter pour pouvoir répondre à la demande de demain, car nous allons manquer d’asperges. Nous prévoyons une augmentation de 15 à 25 % de surfaces plantées pour l’année prochaine. Avec plus de volumes, les prix vont se rééquilibrer ce qui dynamisera la consommation. De beaux jours sont à venir, les asparagiculteurs qui auront tenu bon auront 8 à 10 années devant eux avec de bons prix ».
C’est donc convaincu que des jours meilleurs se profilent à l’horizon que Christian Befve aborde le futur de la production d’asperge. Un optimisme contagieux, à tous les producteurs emplis d’espoir.
«Troublesome asparagus season could also affect next year’s harvest»
St John’s Day traditionally marks the end of the asparagus season. This year too, it will be the finale for the vast majority of growers and traders, but a difficult season has also made some decide to give up earlier. «The absence of sunshine, coupled with low temperatures, really caused low yields and. Also, some consumers opted for leek or chicory instead of asparagus,» says Katrien De Backer, part of the Amelinckx Fruit family business in Hingene, Flanders.
It actually started off quite rosy for this seasonal product. «The asparagus started growing early,» she continues. «In the first few weeks, this meant that heated cultivation and open ground cultivation came together nicely early, giving us a good supply by Easter, which came early this year. On the other hand, the demand was also there. Asparagus is always eagerly awaited, and that made for nice pricing for both grower and buyer.»
‘Farmers’ festival’ on the clock
However, the lack of sunshine and cold temperatures in the weeks that followed threw a spanner in the works. «The rest of the season progressed very slowly and rather hungrily. Asparagus likes night temperatures of at least 10 degrees to reach the preferred length of 21 cm, but they experienced a growth spurt like that maybe twice in the whole season.»
In the end, volumes were disappointing during the whole season. «Depending on the regions where the asparagus fields were located, one could speak of a volume loss of 20 to 25 per cent. The abundant precipitation simply flooded some growers’ plots for days, weeks or months.»
Problems also mean no roots for next year
This season’s problems may not be over yet either. «Indeed, it was not only asparagus growers who suffered from the difficult weather conditions,» Katrien explains. «Breeders and plant breeders also experienced their share of problems. Seed simply did not germinate in some plots, and no germination means no plant and no roots to plant next year. We will have to see what the future brings.»
‘Decision to import asparagus driven by the need to maintain adequate stock’
Tesco explains sale of Mexican asparagus in the UK
In response to concerns raised by a Norfolk resident about the sale of Mexican asparagus in a Tesco store in Downham Market, the retailer has clarified its stance. The critique emerged after the individual noted the availability of asparagus from Mexico despite the presence of locally grown alternatives. Highlighting the abundance of asparagus in Norfolk, the individual questioned the rationale behind importing the vegetable, considering the associated transportation costs. The observation was made during a period when British asparagus, specifically from the Chinn family in Herefordshire, was also on sale, albeit at different price points based on weight.Tesco has articulated that its decision to import asparagus from Mexico was driven by the need to maintain adequate stock for consumers, especially given the impact of recent cold weather on the growth of the UK crop. The retailer emphasized its commitment to supporting British produce, noting that the inclusion of Mexican asparagus was a measure to supplement the British supply rather than replace it. This explanation comes amidst discussions on the implications of importing produce during the local growing season, with the British Growers Association commenting on the challenges faced by UK asparagus growers due to weather conditions this year.
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