Archive

AOPn Fraises Framboises de France Fraise : la filière française mise sur les variétés gustatives pour se démarquer de la concurrence par FreshPlaza

AOPn Fraises Framboises de France

Fraise : la filière française mise sur les variétés gustatives pour se démarquer de la concurrence

Alors que la saison démarre à peine, (la célèbre Gariguette s’installe progressivement sur le marché, des volumes plus conséquents devraient arriver dans une dizaine de jours) l’AOPn Fraises Framboises de France, qui regroupe 600 producteurs et 36 adhérents représentant près de 50 % de la production de fraises françaises, évoque sa stratégie axée sur le goût pour se démarquer de la concurrence.

© AOPn Fraises Framboises de France

Une stratégie de différenciation par le goût
Depuis plusieurs décennies, la filière fraise française a fait le choix de se distinguer de la concurrence étrangère en misant sur le goût. Contrairement aux variétés de fraises dites « californiennes » destinées surtout à l’export car plus robustes, les variétés de fraises françaises sont sélectionnées pour leur qualité gustative à l’image de la Ciflorette, la Gariguette, la Mara des bois ou encore la Charlotte. « La France ne serait pas compétitive à produire une fraise pour l’export compte tenu de ses coûts de production et de main-d’œuvre. La filière a donc dû trouver un autre moyen de se différencier et a misé sur des fraises gustatives, destinées exclusivement à son marché intérieur », explique Emeline Vanespen, Directrice de l’AOPn Fraises Framboises de France.

Le goût : « Un critère sur lequel on ne peut pas faire l’impasse »
C’est la station d’expérimentation Invenio, basée en Nouvelle-Aquitaine qui est chargée de créer et sélectionner ces variétés gustatives (à son actif elle compte déjà la Ciflorette, la Charlotte et, dernièrement en 2022, la variété Chloé). Le principe de la sélection variétale repose sur la réalisation de croisements entre différentes fraises afin d’identifier les meilleures combinaisons génétiques. Rendement, résistance aux maladies et goût sont ainsi les 3 principaux critères de sélection retenus par les adhérents d’Invenio. « Trouver un équilibre entre ces trois éléments est un défi, car le goût et le rendement sont souvent contradictoires. Mais si pour d’autres filières de fruits et légumes on recherche surtout le rendement et la résistance aux maladies, la fraise est la seule culture où le goût reste un critère essentiel pour les consommateurs sur lequel on ne peut pas faire l’impasse », souligne Sébastien Cavaignac, directeur de la station. Grâce à l’informatique, aujourd’hui, cette sélection variétale est assistée par des marqueurs moléculaires. Plus de 300 molécules sont identifiées dans la fraise, et c’est leur équilibre qui définit son goût. Si certains marqueurs indésirables peuvent ainsi être écartés, la sélection finale repose toujours sur l’expertise humaine : Invenio organise donc des dégustations à l’aveugle pour des publics avertis (producteurs, pépiniéristes, etc). Les variétés retenues sont ensuite testées pendant 3 ans avant d’être mises sur le marché.

Si la sélection variétale est essentielle, les méthodes de production le sont également (substrat, contrôle de l’irrigation…) pour atteindre cet objectif gustatif. Mais avant d’arriver sur les étals, les lots de fraises passent également par un contrôle qualité minutieux : couleur, forme, calibre mais aussi le taux de sucre. Un dernier critère est de plus en plus exigé par le cahier des charges de la grande distribution.

Pour plus d’informations :
AOPn Fraises Framboises de France
Agropôle – Bâtiment Agrotec – BP 222
47 931 Agen
Tél. : 05 53 77 24 48
contact@fraisesdefrance.fr

La saison des asperges blanches néerlandaises débute alors que le marché des herbes fraîches est en difficulté par FreshPlaza

La saison des asperges blanches néerlandaises débute alors que le marché des herbes fraîches est en difficulté

Selon le proverbe néerlandais «Lorsque l’asperge blanche apparaît sur les menus, il est temps de commencer à planifier vos vacances d’été.» Même si le temps est encore froid, les premières récoltes d’asperges blanches néerlandaises sont arrivées. «Le printemps est à nos portes et bientôt, les températures augmenteront, apportant des journées plus chaudes et un ciel plus ensoleillé», déclare Omer Kamp d’Europe Retail Packing.

Raymond Van Der Burgh ajoute que la demande d’asperges blanches néerlandaises reste exceptionnellement forte chaque année, en particulier à l’approche de Pâques. Il s’agit d’un produit de base pour les restaurants et d’un incontournable dans les supermarchés en raison de son positionnement haut de gamme. L’asperge blanche est connue pour sa saveur douce et sa texture délicate – les véritables aficionados l’appellent, à juste titre, «l’or blanc».

Max De Vetten souligne que l’asperge cultivée aux Pays-Bas est l’un des produits les plus attendus de la saison, largement utilisé dans le secteur de l’hôtellerie et de la restauration, mais gagnant également en popularité dans le commerce de détail en raison de sa polyvalence culinaire. Gaby De Bruin note toutefois que l’asperge blanche nécessite des conditions plus chaudes, ce qui, à ce stade, n’est possible que dans les serres néerlandaises. «La première vague d’approvisionnement sera limitée, avec des volumes modérés. Dans un premier temps, seules les asperges blanches AA et AAA seront mises sur le marché, tandis que les asperges vertes suivront dans quelques semaines».

«Pour ceux qui ne sont pas familiers avec les aspects techniques de l’asperge, la variété verte est cultivée à partir du sol et a besoin de la lumière du soleil pour obtenir de la chlorophylle, la partie verte des plantes qui aide à générer de l’oxygène dans le processus de photosynthèse. En revanche, les asperges blanches sont généralement cultivées dans le sol, sans exposition à la lumière, ce qui les rend incolores, blanches, plus tendres et plus sucrées», explique Omer Kamp.

Herbes fraîches : aperçu du marché et défis de l’approvisionnement
Europe Retail Packing, une entreprise néerlandaise spécialisée dans le tri, l’emballage et la logistique des herbes fraîches, des fruits et des légumes, a connu une année particulièrement difficile dans le secteur des herbes fraîches.

Selon l’entreprise, des conditions météorologiques imprévisibles ont entraîné de graves perturbations de l’approvisionnement : La ciboulette a connu des pénuries massives de septembre à janvier, et la qualité du basilic a souffert des pluies constantes en Afrique, alors que l’on s’attendait à une saison sèche. En Espagne, les fortes pluies ont entraîné des ruptures d’approvisionnement pour le persil, la coriandre et l’aneth, tandis que les nuits froides du sud de l’Italie ont eu un impact sur la disponibilité du basilic et du thym.

«Nous commençons seulement à ressentir pleinement l’impact du changement climatique», prévient Omer Kamp. «Il est intéressant de noter que la demande globale d’herbes aromatiques a diminué par rapport à l’envolée qui a suivi l’affaire COVID. Cependant, la pression de l’offre reste élevée, non pas en raison de l’augmentation de la demande, mais à cause de la diminution de la capacité de production.»

L’impact des politiques vertes et les perspectives d’avenir
Au-delà des défis climatiques, les nouvelles politiques environnementales européennes représentent des obstacles supplémentaires pour les producteurs. Avec des coûts énergétiques plus élevés, des pénuries de main-d’œuvre et des restrictions sur les pesticides, les agriculteurs européens luttent pour maintenir les rendements.

«Si les prévisions d’augmentation du taux d’humidité se confirment et que les restrictions sur les pesticides restent en vigueur, la production européenne devra faire face à des réductions significatives», déclare Raymond Van Der Burgh. «Même si la demande globale diminue, les pénuries d’approvisionnement persisteront pour de nombreuses variétés d’asperges.

Alors que la saison des asperges blanches néerlandaises démarre et que le marché des herbes aromatiques est confronté à des perturbations continues de l’approvisionnement, les détaillants et les opérateurs de la restauration doivent planifier stratégiquement pour sécuriser leur approvisionnement et s’adapter à la volatilité du marché dans les mois à venir, a conclu Max De Vetten.

Pour plus d’informations :
Omer Kamp
European Retail Packaging
Tél. : +972 5465 12199
Omer@erpnl.nl
www.europeretailpackaging.nl

Empieza la campaña de espárrago verde de Granada «Este año parece que dispondremos de más producción de espárragos desde el inicio de la campaña» por FreshPlaza

Empieza la campaña de espárrago verde de Granada

«Este año parece que dispondremos de más producción de espárragos desde el inicio de la campaña»

Esta semana ha empezado la campaña de espárrago verde de Granada con las primeras ventas. Los volúmenes son ahora limitados en un mercado dominado principalmente por México, aunque se espera una mayor oferta española en las próximas semanas en comparación con el mismo periodo del año pasado.
«Ya hemos empezado a vender los primeros espárragos en el mercado nacional, así como en exportación, aunque de momento, con volúmenes pequeños», cuenta Antonio Francisco Zamora, director general de Centro Sur. «Los campos presentan buenos rendimientos y parece que dispondremos de más producción desde el inicio de la campaña en comparación con la cosecha de 2024».

En estos momentos, aunque quedan algunos lotes de Perú en los mercados europeos, el producto mexicano es el que más abunda, cuya cosecha se ha reducido, de acuerdo con Zamora, entre un 25-30% respecto al año pasado. Centro Sur se abastece también de producto de México, así como de Perú, siendo el principal importador de este origen con alrededor de 3 millones de kilos anuales, en periodo de contraestación del espárrago de Granada, del que producen en torno a 7,5 millones de kilos.

«Los primeros espárragos españoles, al venir en cantidades limitadas, tienen precios bastante altos y son muy esperados por aquellos clientes que apuestan por el producto europeo y de cercanía, con menos huella de carbono», explica Zamora. «A partir de mediados de marzo se espera ya una oferta significativa de producto español para ofrecer continuidad a todos los clientes».

Mientras tanto, crecen las dificultades para los productores de espárrago en Granada, para encontrar trabajadores que cubran las necesidades de recolección, lo cual se ha convertido en una de las mayores preocupaciones para el sector.

«Se trata de un problema generalizado en casi toda la agricultura española. El del espárrago es un sector pequeño y que todavía no está muy mecanizado en campo, aunque se ha intentado implementar tecnología ya usada en espárrago blanco en otros países europeos», indica Antonio F. Zamora.

«Hemos analizado posibles soluciones para agilizar la llegada de mano de obra, ya sea de otras zonas del país o del extranjero. En este sentido, es necesario simplificar las gestiones y flexibilizar los trámites administrativos que permitan incorporar más trabajadores de manera eficiente. También deberían compatibilizarse las ayudas con los contratos temporales para que estos sean más atractivos para los trabajadores, es algo que ya se aplicó durante la pandemia», sostiene el director general de Centro Sur.

 

Para más información:
Antonio Francisco Zamora
Centro Sur, S.C.A
T: +34 958332020
azamora@centro-sur.es
centro-sur.es

 

Por suerte, los precios del espárrago empiezan a bajar, pero las ventas no despegarán hasta finales de la semana que viene por FreshPlaza

Ellen Sebrechts, de Sebrechts Groenten en Fruit (Bélgica):

«Por suerte, los precios del espárrago empiezan a bajar, pero las ventas no despegarán hasta finales de la semana que viene»

A principios de febrero, empezaron a cosecharse los primeros espárragos de invernadero. Para muchos, es un momento muy esperado, aunque los precios de las primeras semanas pueden disuadir el consumo. «Siempre es un placer volver a empezar, pero lo hacemos con precios de unos 45 euros el kilo. Con semejantes precios, las ventas no son muy fluidas y siempre existe el miedo de no poder venderlo todo», explica Ellen Sebrechts, del mayorista Sebrechts Groenten en Fruit, de Amberes (Bélgica).

«Los precios ya han bajado unos 20 euros, lo cual favorecerá las ventas», prosigue. «Los volúmenes siguen siendo muy limitados, así que espero que, a medida que aumenten, los precios sigan bajando en las próximas semanas. De hecho, el lunes me di cuenta de que los precios de la subasta habían empezado a bajar. Además, tengo entendido que otros dos productores empezarán la semana que viene en Bélgica, así que todo estará ya pronto funcionando a plena marcha».

«Por otro lado, las ventas no suelen acabar de despegar hasta después de las vacaciones de primavera. Para nosotros, eso será la semana que viene y mucha gente estará fuera, lo que, por supuesto, no ayudará a las ventas. Cuando vuelva la gente, espero que las ventas se sitúen a niveles más normales a partir del viernes. Para entonces, dispondremos también de más producto. Gracias al comprador de hortalizas Roger De Wachter me he enterado de que dentro de 2 o 3 semanas llegarán también los espárragos holandeses procedentes de cultivos con calefacción, así que para entonces habrá una mayor oferta y diversidad de variedades y también se podrá ofrecer más».

Aun así, Ellen cree que hay ya muchas ganas de que todo se ponga en marcha. «Al fin y al cabo, ahora en realidad estamos en un momento de transición. Ya no hay disponibilidad de ciertos productos de invierno. Además, últimamente ha decaído la calidad de las hortalizas procedentes de España, por lo que también nos llegan cada vez más preguntas sobre si no tenemos nada nuevo. Algo que les sirva para poder disponer de algún producto con un aura más especial. Para lo cual, por supuesto, el espárrago es un producto idóneo».

Así que hay muchas esperanzas puestas en el espárrago blanco, aunque según Ellen, para los verdes aún habrá que esperar un poco. «Parece que en Bélgica están tardando un poco más que otros años. Sin embargo, disponemos de espárragos verdes de Alemania, y también españoles, y son de muy buena calidad. Además, a veces trabajamos con producto mexicano y también con pequeñas cantidades de espárragos franceses. Sin embargo, los franceses resultan un poco más complicados de vender en Bélgica. De todas formas, notamos que los espárragos verdes se venden algo menos. Suelen ser un poco más caros, así que atraer sobre todo a amantes del producto».

Para más información:
Ellen Sebrechts
Sebrechts Groenten & Fruit
Kielsbroek 4
2020 Amberes (Bélgica)
Tel.: +32 32374192
info@sebrechtsfruit.be
www.sebrechtsfruit.be

 

El espárrago peruano creció en volumen en enero pero cayó en valor por FreshPlaza

El espárrago peruano creció en volumen en enero pero cayó en valor

exportaciones de espárrago fresco peruano en enero del 2025
Las exportaciones de espárrago fresco peruano en enero del 2025 alcanzaron 9,600 toneladas, valoradas en US$ 34.3 millones.

Esto implicó un aumento del 28% en volumen comparado con el mismo mes del 2024, aunque el valor se redujo un 9%. La caída en el precio promedio por kilogramo, que fue de US$ 3.57, un 29% menos que en enero del 2024, fue el principal factor de esta disminución en el valor exportado.

La calidad y cantidad del espárrago peruano se habrían visto afectadas por las altas temperaturas.

Además, la campaña del producto desde octubre enfrentó problemas logísticos, como retrasos en los envíos y cortes en la cadena de frío. Estos factores impactaron la percepción del producto en mercados clave, lo que pudo haber influido en la caída del precio.

En términos de exportaciones, en enero del 2025, los agroexportadores peruanos lograron ingresar el producto en 34 países. Estados Unidos se mantuvo como el principal destino del espárrago peruano, con una participación del 64%. En total, se exportaron 6,644 toneladas por US$ 22.06 millones, lo que significó un incremento del 31% en volumen, pero una reducción del 8% en valor. El precio promedio en este mercado se situó en US$ 3.32 por kilogramo, un 30% menos que el año anterior.

España fue el segundo mercado más importante, con una participación del 13%. Se exportaron 1,293 toneladas por US$ 4.46 millones. A pesar de un crecimiento del 12% en volumen, el valor exportado también cayó un 24% debido a una reducción del 32% en el precio promedio, que pasó de US$ 5.10 a US$ 3.45 por kilogramo.

El Reino Unido fue el tercer destino, con una participación del 10%. En total, se enviaron 638 toneladas por US$ 3.5 millones. Esto representó un crecimiento del 226% en volumen y del 166% en valor. Sin embargo, el precio promedio por kilogramo también cayó un 18%, pasando de US$ 6.72 en el 2024 a US$ 5.49 en el 2025.

Además, Bélgica y Alemania redujeron sus adquisiciones de espárrago peruano en enero del 2025. En el mismo mes del 2024, ambos mercados registraban importaciones superiores a los US$ 600,000, mientras que en este año no superaron los US$ 300,000. Esto podría reflejar la preocupación de los compradores europeos sobre la calidad del producto peruano.

Fuente: freshfruit.pe

 

Fecha de publicación:

Indalecio Cáceres, de San Isidro de Loxa : « Nous espérons obtenir un bon prix avant que la production d’asperges nationale ne commence » par FreshPlaza

Indalecio Cáceres, de San Isidro de Loxa :

« Nous espérons obtenir un bon prix avant que la production d’asperges nationale ne commence »

La semaine dernière, la saison des asperges vertes a débuté dans la province de Grenade avec les premières coupes de la saison. « À peine rentrés de Berlin, nous avons commencé la récolte de cette année, pour laquelle nous attendons une production supérieure à celle des années précédentes, soit plus de 2,5 millions de kilos. »

« Les prix sont bons en ce moment car il n’y a pas encore de gros volumes d’asperges au niveau national. Il arrive toujours un moment où, soit en raison de l’encombrement de la récolte, soit à cause des fêtes de printemps, la fermeture des marchés est plus longue que d’habitude lors des pics de production de la saison, lorsque les prix chutent et qu’il est très difficile de les faire remonter. C’est pourquoi nous espérons que les niveaux du début de la saison se maintiendront le plus longtemps possible. »

« Le point positif est que cette année, il y a eu plus de pluie que les années précédentes. L’année dernière, la récolte a été très courte en raison de la sécheresse, et l’année précédente, elle a été encore plus courte ; et bien que nous ne nous approchions pas encore des 3,2 millions de kilos d’il y a trois saisons, cette année, nous dépasserons de loin la production de 2024. Maintenant, nous sommes à la merci du gel, car dans une saison qui commence en février, c’est un risque qui nous accompagne même au printemps. »

« Les températures sont de plus en plus douces en hiver ; en fait, les amandiers sont déjà en fleurs dans cette zone de Loja. Mais cela ne veut pas dire que des gelées tardives ne peuvent pas se produire et anéantir toutes les fleurs des arbres qui avancent de plus en plus dans leur production, ou les asperges qui ont déjà poussé. »

Concrètement, à Grenade, le mois de novembre a été qualifié d’extrêmement chaud avec des températures qui ont établi de nouveaux records historiques et le mois de janvier a été à nouveau plus chaud que la normale, mais heureusement avec les précipitations nécessaires pour la saison de l’asperge verte à Loja, où ce légume est principalement cultivé sur des terres non irriguées.

« Pour l’instant, nous sommes très satisfaits du début de la récolte et nous espérons atteindre une bonne moyenne avant que la production d’asperges nationale ne commence. Le Pérou ou le Mexique, qui exportent encore des asperges, ont un impact sur nos prix, mais lorsqu’ils commenceront à produire leurs propres asperges vertes, l’Italie, vers laquelle nous exportons un volume important cette saison, ou l’Allemagne, directement, ne nous achèteront plus. »

Pour plus d’informations :
San Isidro de Loxa S.C.A.
Polígono Manzanil II, Avenida José Velasco, S/N
18300, Loja (Granada) – Espagne
https://www.loxa.es/