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Éplucheuse d’asperges blanches : LA solution pour augmenter la consommation en France ? par FreshPlaza

Enya Vermuë, Agrivaloire :

Éplucheuse d’asperges blanches : LA solution pour augmenter la consommation en France ?

Agrivaloire œuvre depuis 35 ans dans le secteur de l’asperge avec une expertise transmise de génération en génération. Créée par les parents d’Enya Vermuë qui en est aujourd’hui à la tête, l’entreprise a d’abord bâti sa réputation sur la commercialisation de plants d’asperges avant d’élargir son activité face à une problématique croissante : le manque de main-d’œuvre au sein des exploitations. « Nous avons progressivement développé des partenariats avec des fabricants européens capables de proposer des machines pour assister les producteurs », explique Enya Vermuë. Grâce aux origines néerlandaises de son père et à ses nombreux contacts en Belgique, aux Pays-Bas et en Allemagne, Agrivaloire joue aujourd’hui un rôle d’intermédiaire essentiel entre les fournisseurs étrangers et le marché français, en assurant également le service après-vente.

Enya Vermuë au salon IAD 2025, présente l’éplucheuse Peelmaster Mini de Tenrit Foodtec

Une machine incontournable en Allemagne, une nouveauté en France
Présente au salon IAD – IBD, la société Agrivaloire a mis en avant un certain nombre de machines de ses partenaires, dont différents modèles d’éplucheuses à asperges. « Cette machine existe depuis plus de 25 ans en Allemagne, mais elle est encore perçue comme une innovation en France », souligne Enya Vermuë. Coïncidence ou relation de cause à effet, la consommation d’asperges blanches en Allemagne est bien plus élevée qu’en France.

« A l’époque, une étude avait mis en avant le fait qu’en Allemagne, le temps consacré à la préparation des repas était bien plus court qu’en France : 25-30 minutes contre 1h30. L’utilisation de cette machine en Allemagne permettait donc de consommer des asperges blanches tout en gagnant un temps précieux lors de la préparation. Aujourd’hui, les Français ont réduit également le temps passé pour la préparation des repas à une trentaine de minutes. Les habitudes ont changé, et peut-être est-il temps d’adapter nos outils à ce nouveau mode de vie ».

Selon l’étude publiée par le CTIFL en 2025 sur la perception de l’asperge : 56 % des non-consommateurs évoquent un temps de préparation trop long et 45 % disent ne pas savoir comment la cuisiner. L’épluchage, en particulier, est vu comme une étape contraignante, technique, voire décourageante pour les plus jeunes. L’éplucheuse d’asperges pourrait donc répondre à une évolution sociétale sur le marché français comme elle le fit en Allemagne, en simplifiant la préparation et en rendant la consommation d’asperges plus accessible. Un outil qui pourrait même être « un levier pour relancer la consommation d’asperges blanches en France », estime Enya Vermuë.

Eplucheuse à asperges : le modèle industriel présenté au salon IAD

Trois modèles pour s’adapter à tous les besoins
Agrivaloire a donc présenté au salon trois modèles qui répondent à des besoins bien distincts. Le premier, un modèle industriel, est la version historique, dotée de multiples réglages et options. Le second a suscité un vif intérêt : un modèle en libre-service, pensé pour être installé directement en supermarché, à côté du rayon asperges. « En plus d’apporter beaucoup de praticité, c’est une façon ludique d’animer le rayon : on peut même dire que c’est la star de l’étalage ! ».

Enfin, la Peelmaster Mini de Tenrit Foodtec est une version compacte, lancée l’an dernier, qui cible les petits commerces et magasins de proximité. « la Peelmaster Mini permet d’éplucher 1 kg d’asperges en 20 secondes. Il n’y a ni bouton ni réglage. On introduit l’asperge d’un côté, et elle ressort de l’autre parfaitement épluchée. Elle sera disponible pour le marché français en location ou à l’achat dès 2026 ». Ces deux dernières déclinaisons se distinguent par leur simplicité d’utilisation.

Une bonne réponse du marché français
Si le marché français restait encore prudent il y a deux ans, les mentalités évoluent. « L’an dernier, nous avons loué six machines et vendu trois modèles. Pour un lancement, c’est déjà très encourageant ». Cette année, le nombre de contacts et de démonstrations lors du salon confirme un intérêt croissant pour ce type d’équipement.

En facilitant la préparation des asperges, Agrivaloire espère stimuler la consommation française, encore modeste comparée à celle de ses voisins européens. Une démarche qui s’inscrit pleinement dans la mission que s’est donnée l’entreprise : soutenir la filière de l’asperge en innovant et en simplifiant le quotidien des producteurs comme des consommateurs.

Pour plus d’informations :
Enya Vermuë
Agrivaloire
enya.vermue@agrivaloire.fr Date de publication: mer. 5 nov. 2025

© FreshPlaza.fr / Aurélie Pintat

Chine : la production de myrtille en hausse de 35 % par Hunan Dream Of Fruit Agriculture Co.

Chine : la production de myrtille en hausse de 35 %

À l’approche de la saison de la cueillette des myrtilles, l’industrie chinoise des myrtilles connaît un nouveau cycle de croissance. Selon les dernières données industrielles, la production nationale de myrtilles devrait dépasser 1,2 million de tonnes, soit une augmentation de 35 % par rapport à l’année précédente. Grâce à des moyens techniques tels que la culture sur substrat et la surveillance numérique, neuf indicateurs de qualité essentiels, tels que le rapport sucre-acide du fruit et la couverture de la poudre de fruit, ont été généralement améliorés, le taux de réussite passant de 68 % l’année dernière à 91 %.

Le Yunnan est l’une des principales régions de plantation de myrtilles du pays et sa production actuelle représente environ 30 % de la production totale du pays. À l’approche de la période de récolte, les myrtilles locales arriveront sur le marché à partir de novembre”, a déclaré Manda, responsable des exportations pour Hunan Fruit Seek Dream Agricultural Co. Avec une grande différence de température entre le jour et la nuit et un climat approprié, les fruits sont durs et bien colorés, et la qualité globale présente un certain avantage en Chine.”

La zone de plantation de myrtilles de Fruit Finding Dream dans le Yunnan s’est étendue à 3 000 acres, et la production de cette année a doublé par rapport à la saison précédente. En termes de variété, l’entreprise promeut actuellement quatre variétés, à savoir M8, M9, L42 et Bianca, afin de répondre aux différentes demandes du marché.” M8 est un fruit de qualité avec un fort arôme floral, un goût sucré pur et une dureté élevée ; M9 est à la fois sucré et croquant, avec plus de 90 % de couverture de poudre de fruit et une bonne circulation ; L42 est connu pour ses gros fruits et son goût sucré élevé, avec un diamètre de plus de 20 mm en général, et le plus gros peut atteindre 26 mm ; Bianca est la nouvelle variété que nous avons lancée cette année, avec un diamètre de 15 à 20 mm, avec un goût rafraîchissant et purement sucré, et elle devrait être disponible en décembre. Bianca est une nouvelle variété que nous avons lancée cette année, avec une concentration de fruits d’un diamètre compris entre 15 et 20 mm et une saveur fraîche et purement sucrée. a déclaré Manda.

Les prix des myrtilles du Yunnan sont en baisse cette saison par rapport à la précédente, principalement en raison de la concentration de la production et de l’optimisation de la chaîne d’approvisionnement. Dans l’ensemble, les prix présentent la caractéristique saisonnière d’être élevés avant et bas après, ce qui est la norme dans l’industrie”.

En ce qui concerne les exportations, Fruit Seekers a exporté des myrtilles vers des marchés tels que Hong Kong, la Thaïlande, la Malaisie, Singapour et le Moyen-Orient. La demande de variétés et de tailles de fruits varie considérablement d’une région à l’autre”. Les clients qui ont des exigences élevées en matière de taille et de saveur des fruits préfèrent la M8, tandis que les marchés qui préfèrent les gros fruits sont plus réceptifs à la L42 ; la M9 et la Bianca sont plus adaptées au canal de distribution, principalement pour le marché de masse”. a ajouté Manda.

La demande de myrtilles continue d’augmenter, tout comme le nombre de producteurs locaux de myrtilles dans le Yunnan, explique Manda. “Nous sommes plus préoccupés par le goût du fruit et l’acceptation par les consommateurs locaux que par certaines variétés importées. Par exemple, certaines de nos principales variétés ont un goût sucré, ce qui correspond davantage aux goûts locaux, alors que certaines des importations sud-américaines ont une saveur plus acide. Bien que le prix de certaines variétés soit légèrement plus élevé que celui des variétés importées, en termes de qualité globale et de stabilité, les myrtilles locales sont plus rentables. Les consommateurs acceptent de plus en plus les myrtilles produites dans le pays, en particulier sur les plateformes de commerce électronique, où la part de marché des myrtilles produites dans le pays a largement dépassé celle des importations.

Bien que la production continue d’augmenter, la consommation de myrtilles par habitant en Chine est encore bien inférieure à celle des pays développés, moins d’un dixième du niveau, estime Manda, ce qui signifie que le marché n’est pas encore saturé, mais aussi que la concurrence va s’intensifier.” L’orientation future de l’industrie doit être la qualité et l’image de marque, avec une culture standardisée et des mises à jour technologiques.

Pour plus d’informations :
Hunan Dream Of Fruit Agriculture Co.
Manda
Tél. : +86 19119256767 ( Whatsapp)
Dreamoffruitexport@hotmail.com
dreamoffruit@hotmail.com Date de publication: mar. 4 nov. 2025

Notre intégration verticale nous oblige à cultiver des baies dans une perspective à long terme »par Fermes Naturipe et FreshPlaza

« Notre intégration verticale nous oblige à cultiver des baies dans une perspective à long terme »

Toute amélioration de la saveur, de la durée de conservation, de la résistance ou du rendement commence par la génétique. “Elle nous permet de façonner l’ensemble de l’expérience des baies – de la performance d’une plante dans le champ à la durée de conservation des fruits dans les rayons, en passant par le plaisir des consommateurs à les manger”, explique Jim Roberts, président de Naturipe Farms.

Intérêts des producteurs, des détaillants et des consommateurs
Pour créer une expérience optimale, il faut tenir compte des intérêts des producteurs, des détaillants et des consommateurs, qui sont tous différents. Les producteurs veulent des arbustes résistants qui peuvent supporter la chaleur, le froid, la sécheresse et les fortes pluies, tout en produisant des baies savoureuses en abondance, année après année. Pour eux, la longévité, la résistance aux maladies et l’adaptabilité sont des caractéristiques essentielles, qui réduisent la nécessité de replanter fréquemment.

Les consommateurs, quant à eux, veulent que chaque baie ait un goût délicieux et une belle apparence. “La constance est essentielle et lorsque les consommateurs achètent une baie Naturipe, ils doivent savoir exactement quel type de saveur et de qualité ils obtiennent à chaque fois”, a déclaré M. Roberts. Plus l’expérience de consommation est bonne, plus les consommateurs sont susceptibles d’en redemander. Selon les recherches menées par Naturipe, les consommateurs préfèrent les baies sucrées et juteuses. Plus précisément, pour les mûres, ils souhaitent que les graines et l’acidité soient réduites au minimum.

“Nous tenons compte de ces intérêts au cours du processus de sélection. Comme nous appartenons à des producteurs, nous pensons toujours à long terme. La sélection ne vise pas seulement à créer une meilleure baie aujourd’hui, mais aussi à assurer la prospérité des agriculteurs, à permettre aux détaillants de fournir des fruits délicieux et de grande qualité, et à permettre aux consommateurs de profiter de nos baies pour les générations à venir”.

Commercialiser une nouvelle variété
La sélection des meilleures baies est un long processus. Il faut entre sept et dix ans pour commercialiser une nouvelle variété, et ce après une centaine d’essais, dont la plupart n’ont pas dépassé le deuxième tour. Chaque étape, de la pollinisation croisée aux essais sur le terrain, nécessite des années d’étude et de perfectionnement pour s’assurer que la plante est performante pour les producteurs et qu’elle offre la qualité attendue par Naturipe pour les détaillants et les consommateurs. “Notre sélection se concentre sur la combinaison de la force du champ avec une saveur constante, aidant les producteurs à obtenir des récoltes fiables, rentables et durables”, a commenté M. Roberts. Naturipe s’efforce d’accélérer ce processus en utilisant des technologies et des méthodes qui permettent aux sélectionneurs d’aller plus vite sans compromettre le processus.

Les conditions météorologiques
De ce point de vue, il est devenu crucial de concentrer les efforts de sélection sur l’impact des conditions météorologiques sur les performances des plantes. “Mère Nature est une variable que nous ne pouvons pas contrôler, même si nous aimerions pouvoir le faire, et elle présente de grands défis. Les chaleurs extrêmes, les vagues de froid, les gelées nocturnes et les précipitations imprévisibles peuvent avoir un impact sur le rendement, la qualité et la taille des baies. “Nos efforts de sélection nous permettent de choisir et de développer des variétés qui peuvent prospérer dans une gamme plus large de conditions et qui sont tolérantes à la chaleur, à la sécheresse et au froid”, a déclaré M. Roberts.

Sites de sélection
Pour tenir compte des différents climats et conditions de culture, les sites de sélection et d’essai sont situés aux États-Unis et à l’étranger. “Notre producteur-propriétaire MBG Marketing gère le programme Berry Blue et l’a étendu à tout le pays. Hortifrut, quant à lui, gère des programmes de sélection à l’échelle mondiale, ce qui lui permet d’avoir accès à une génétique variée et à des connaissances provenant de toutes les grandes régions productrices de baies. En Californie, le producteur-propriétaire Naturipe Berry Growers est impliqué dans des projets de sélection privés et publics. Récemment, le consortium Ohala Strawberry a été annoncé ; il vise à transformer la sélection des fraises et à développer des variétés de semences authentiques non génétiquement modifiées. “C’est une première pour le secteur et c’est très excitant. La répartition géographique permet de garantir le développement de variétés qui prospèrent partout où les baies Naturipe sont cultivées”.

Nouvelles saveurs
Au fil du temps, les consommateurs ont commencé à manifester plus d’intérêt pour les expériences gustatives distinctives. “Nous avons récemment proposé aux détaillants des myrtilles Berry Peachy”, a déclaré M. Roberts. “Il s’agit de nos myrtilles classiques avec une touche juteuse de pêche, mais toujours riches en antioxydants et parfaites pour le grignotage ou l’ajout à des smoothies ou à des yaourts.” L’entreprise prévoit de les réintroduire la saison prochaine. Néanmoins, l’objectif général est d’améliorer les profils de saveurs naturelles, notamment en rendant les baies sucrées plus sucrées ou en créant une saveur plus équilibrée pour les baies que les détaillants achètent régulièrement, comme les myrtilles, les fraises, les framboises et les mûres.

Marque
De nouvelles marques de baies continuent d’arriver sur le marché, mais leur succès dépendra d’une qualité constante, de la fiabilité de l’approvisionnement et de la façon dont elles sont racontées. “Les détaillants et les consommateurs veulent en savoir plus sur l’origine de leurs baies préférées et sur la manière dont elles sont cultivées”, a déclaré M. Roberts. En outre, ils veulent des baies qui durent plus longtemps, qui ont l’air d’une fraîcheur appétissante et qui ont une saveur constante. “En assurant la performance et en instaurant la confiance avec le détaillant, nous gagnons de l’espace en rayon et nous le gardons.”

“Les Sweet Selections™ sont un exemple de ce que nous cultivons de mieux.” Elles sont le résultat des programmes d’élevage exclusifs de Naturipe et ne sont sélectionnées que lorsqu’elles répondent à des critères spécifiques qui satisfont aux normes déjà élevées de l’entreprise. Pour les acheteurs, Sweet Selections™ signifie qu’ils obtiennent les baies les plus sucrées de la saison, à chaque fois. Pour les détaillants, c’est un moyen d’offrir un produit de qualité supérieure qui est soutenu par l’héritage de Naturipe en matière de qualité et d’expertise des producteurs.

Pour plus d’informations :
Jim Roberts
Fermes Naturipe
info@naturipefarms.com
www.naturipefarms.com Date de publication: mar. 4 nov. 2025

© FreshPlaza.fr / Marieke Hemmes

Nova Scotia drought impacts wild blueberry crop and raises prices by Wild Blueberry Producers Association of Nova Scotia and FreshPlaza

Nova Scotia drought impacts wild blueberry crop and raises prices

Nova Scotia wild blueberries are seeing strong prices following a significantly short crop this season. This comes even though there was a good start to the season.

“We had good pollination weather and a good spring–no frost events or anything like that, so there was optimism going into the summer,” says Janette McDonald, executive director of the Wild Blueberry Producers Association of Nova Scotia. However by the end of July, conditions changed quickly because Nova Scotia found itself facing a severe drought.

Difficulties ensued given that very few growers in the province have irrigation systems set up. Many of its wild blueberry fields are set up on steep slopes or hilly regions which aren’t conducive to irrigation, even if it was available, and there’s also virtually no pond access to surface draw water. “By August we were into harvest and then into September, there were a lot of really hot days and a complete lack of rain.”

The season also saw an earlier start to harvest this year. “The unfortunate part of that is, is that there’s a lot of custom work that’s done and only so many harvesters and usually you can time moving through regions. That starts at the lower end of the province and works its way up. This year, everything was just early and coming all at once,” she says. In turn, every day that fruit was left in the field, moisture was lost and further created that reduced volume.

Concerns over wild fires
The dry conditions also prompted a fire ban as well on harvesting in Nova Scotia for wild blueberries, much of which are sent to processing. “Not only did it restrict when you could harvest in the fields, but it increased fire watch so you needed to have a water source on site to ensure that if equipment or the ground caught on fire, you could extinguish it. That just added to resources that were needed during harvesting,” says McDonald.

All of this has left prices paid to the grower for wild blueberries significantly higher than last year. Globally there are also increases on wild blueberry markets, particularly so given inventory was low going into the season and fellow wild blueberry harvesting regions such as New Brunswick and Maine were also hit with drought.

Looking ahead, this year’s reduced crop also means that there will be low inventory going into the 2026 harvest. “Everything that was harvested this year is going to be needed for existing markets and contracts,” says McDonald. “For Nova Scotia, New Brunswick and Maine there’s also some worry about how the sprout fields will do. There is some damage to them from drought this year so there are worries about what the impact will be next year.”

For more information:
Janette McDonald
Wild Blueberry Producers Association of Nova Scotia
Tel: +1 (902) 890-8608 (cell)
janette@nswildblueberries.com
https://nswildblueberries.com/

Peru anticipates increasing asparagus exports to the U.S. by 15 percent by FreshPlaza and Peruvian Asparagus Importers Association

Peru anticipates increasing asparagus exports to the U.S. by 15 percent

It’s peak season for asparagus from Peru. While the product is brought into the U.S. market year-round, supply typically peaks from September or October through January. “The outlook is positive as growing conditions have generally favored healthy crops this season,” says Priscilla Lleras, Executive Director of the Peruvian Asparagus Import Association (PAIA). “Mild temperatures have supported steady asparagus development and current projections suggest a robust year, potentially exceeding last year’s import volumes.” Quality has also been reported as consistently high with Peruvian exporters focusing on exceeding standards to meet U.S. quality demands.

The U.S. continues to be the primary import destination for fresh Peruvian asparagus with additional markets including Canada and several European countries. The 2025 season is anticipated to conclude with an estimated 15 percent year-over-year growth.

During Peru’s peak season, the availability of other regions imported asparagus does not present competition from October to December. Conversely, regions such Mexico and Peru supplement the fresh asparagus market during those periods of high consumer demand, effectively complementing supply rather than competing.

Peru’s reliable supply chain and strong logistical infrastructure help maintain its competitive edge to the U.S. meet demand. Despite the occasional disruptions due to port strikes or labor shortages, such issues may cause temporary delays, however the overall distribution ensures that Peruvian asparagus remains available in U.S. markets from early autumn through mid-winter, providing U.S. consumers with fresh asparagus for an extended period each year.

For more information:
Priscilla Lleras
Peruvian Asparagus Importers Association
Tel: (+1) 817 – 793 -3133
priscillaprestige@outlook.com
www.peruvianasparagusimportersassociation.com Publication date: Wed 29 Oct 2025

© FreshPlaza.com / Marieke Hemmes

Participez à l’aventure de Sylektis qui développe le premier robot français de récolte des asperges blanches et vertes

Sylektis: Transformer la récolte agricole avec le tout premier robot de récolte autonome polyvalent. Pour accentuer notre croissance, nous proposons à notre communauté l’opportunité de devenir actionnaire de Sylektis et de contribuer au changement dans l’agriculture durable. Sylektis a une excellente expérience dans la récolte des asperges blanches et vertes.

Sylektis: Transformer la récolte agricole avec l’AsperCut, le tout premier robot de récolte d’asperges blanches et d’asperges vertes.
Vidéo de l’AsperCut en action:https://youtu.be/jO_I0FiE2Ds?si=bEw4fxVoiMPxpkLy
Pour lancer notre croissance, nous vous proposons l’opportunité de devenir actionnaire de Sylektis et de contribuer au changement dans l’agriculture durable.​
Les défis du marché agricole :Dépendance aux importations pour plus de 50% des fruits et légumes en France, entraînant des conséquences sur la qualité et l’environnement.
Manque chronique de personnel agricole, avec un besoin annuel de 270 000 saisonniers.
Accroissement de l’agriculture robotisée: marché estimé à 27,7 milliards USD d’ici 2029, avec un TCAM de 13,1%. 
La réponse de Sylektis :Sylektis s’attaque à ces problématiques avec un robot de récolte polyvalent novateur, conçu pour les fruits et légumes, qui :
Diminue de 88% les besoins en personnel, un opérateur contrôlant plusieurs robots de récoltes.
Augmente la précision de la récolte grâce à une vision 3D et une IA sophistiquée, réduisant les gaspillages.
Réduit de 50% l’empreinte carbone, promouvant la production locale et durable.
Nos réalisations et perspectives :Validation solide du marché : Potentiel de ventes de 147 millions d’euros.
Levée de 1M€ pour soutenir la R&D, avec un retour sur investissement prévu sur 4 ans.
Vente de 8 robots dès 2027 puis montée à 100 robots par an dès 2029.Projection d’un chiffre d’affaires supérieur à 4 M€ dès 2027-28.
Modalités d’investissement :Les investissements sont réservés aux 30 premiers investisseurs retenus.
Pour plus d’informations, contactez directement par email ou téléphone Wilfried Garrigue, président de Sylektis. Notre équipe est prête à discuter avec vous et à répondre à toutes vos questions.​
Avec Sylektis, le futur s’est maintenant, alors n’hésitez pas à nous rejoindre!
PRÉSIDENT & FONDATEUR
SYLEKTIS
Wilfried GARRIGUETel: +33 (0)6 08 99 22 73mail: wilfried.garrigue@sylektis.comwww.sylektis.com

Wilfried GARRIGUE                                  

SYLEKTIS

Président

Mobile: +33 (0)6 08 99 22 73

Email: wilfried.garrigue@sylektis.com

L’asperge et les baies à l’honneur dans le Sud-Ouest par Claire Bouc de Vegetable

L’asperge et les baies à l’honneur dans le Sud-Ouest par Claire Bouc de Vegetable

Claire Bouc

20 octobre 2025

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Après une 4e édition organisée en 2021 au salon Macfrut à Remini en Italie, les International Asparagus Days sont revenus en France cette année, en accueillant la 1re édition des International Berries Days.

salon asparagus days
© végétable

Ce sont sur les terres et sous les serres de Planasa, en Gironde, que les quelque 1 200 visiteurs venus du monde entier ont pu rencontrer, les 8 et 9 octobre dernier, les 130 exposants présents. Ces deux jours de salons ont réuni les IAD (International Asparagus Days) et les IBD (International Berries Days). Les IAD ont offert conférences et démonstrations de matériel, complétées par deux jours de visites techniques sur des exploitations, au CTIFL et chez Invenio. L’occasion de mettre en avant l’importance de la mécanisation et de la robotisation.

« Il y a trente ans, la production d’asperges représentait 15 000 ha en France. Elle n’est plus que de 5 000 ha aujourd’hui. Elle a été rattrapée par l’Allemagne, qui a peu à peu gagné en précocité et agrandi ses surfaces (17 000 ha). Aujourd’hui, la situation est en train de s’inverser, car nous avons largement investi dans le développement de machines multifonctions qui permettent d’économiser beaucoup de main d’œuvre, dont le prix ne cesse d’augmenter », a expliqué Christian Befve, consultant spécialiste de l’asperge, qui s’occupe de 30 % de la production mondiale d’asperge et qui est à l’origine des IAD.

Autre constat de l’expert : « La superficie mondiale d’aspergeraie à ne pas dépasser, pour s’assurer de bons prix, tourne autour de 230 000 ha. Or, avec 190 000 ha aujourd’hui, nous en sommes encore loin. Je recommande donc aux producteurs de planter et d’investir. »

Reste à trouver les semences, les obtenteurs se montrant frileux à les développer sans commande préalable, et les producteurs rechignant, de leur côté, à investir un an à l’avance. Autre problème de taille : la francisation des productions originaires de pays producteurs mais non consommateurs, tels que le Mexique. Un sujet à prendre à bras le corps selon les producteurs, qui s’insurgent par ailleurs des distorsions existantes au niveau des produits phytosanitaires.

De nouvelles variétés pouvant être cultivées dans les climats chauds

« En France, les producteurs disposent de 30 % de produits en moins qu’en Espagne, mais on autorise l’entrée, sur nos marchés, d’asperges espagnoles traitées avec des produits interdits chez nous », s’est indigné Christian Befve. Cette année, le salon a ouvert ses portes aux petits fruits rouges, et notamment aux myrtilles, dont la consommation a doublé ces cinq dernières années.

« Plus de 50 % des producteurs, fournisseurs et metteurs en marché d’asperge, en France et à l’étranger, travaillent ces deux produits, complémentaires. Ils ont aussi une clientèle similaire, qui dispose d’un fort pouvoir d’achat », a souligné Thomas Drahoard, PDG de NCX Drahorad, une société de services italienne spécialisée dans le commerce international des fruits et légumes.

« Au Maroc, la production de myrtilles a dépassé la production de fraises, grâce à de nouvelles variétés pouvant être cultivées dans les climats chauds, avec un cycle de production très rapide, entre 8 et 16 mois, entre la plantation et la première récolte. Ces nouvelles variétés, qui offrent des fruits plus gros, plus aromatiques et plus résistants, ont changé le panorama de la production », a développé Bruno Mezzetti, professeur à l’Université polytechnique des Marches d’Ancône, en Italie, et consultant pour Macfrut.

La myrtille est aussi un produit moins fragile, dont la conservation peut s’étendre jusqu’à un mois, et c’est le seul fruit rouge que l’on peut récolter à la machine. Selon le fabricant, le prix de la main d’œuvre est tellement élevé que, même si l’on perd entre 30 et 50 % du volume avec une récolte mécanique, les 365 000 € d’investissement peuvent être amortis en deux ans.

Bruno Mezzetti et Christian Befve © végétable

Peruvian asparagus up 23% as Mexican avocado stays steady by FreshPlaza and USDA

Seasonal perishable products weekly update:

Peruvian asparagus up 23% as Mexican avocado stays steady

As the fall season progresses, supply and pricing trends vary across key fruit and vegetable categories imported and traded through U.S. ports. The following summary highlights current movement and pricing conditions for asparagus, avocado, blueberry, cucumber, green bell pepper, strawberry, and tomato.

Asparagus
Imports from Peru through Southern California are expected to increase. Trading for jumbo sizes is fairly active, while other sizes are moderate. Prices for jumbo are slightly higher, with 11-pound cartons of bunched green jumbo mostly at US$47.75–48.75, extra-large at US$46.75–47.75, large at US$36.75–38.75, and standard at US$33.75–34.95.

Avocado
Movement from Mexico through Texas is expected to remain steady. Trading of 32–36s is slow, while other sizes are moderate. Prices for conventional 40–48s and 84s are slightly higher. Hass two-layer cartons are mostly US$34.25–35.25 for 32s, US$26.25–30.25 for 36–40s, US$26.25–28.25 for 48s, and US$21.25–23.25 for 60–84s. Organic 48–60s range from US$36.25–38.25.

Blueberry
Peruvian imports via Miami, Philadelphia, and New York are increasing. Trading is very active, with slightly lower prices. Flats of 12 one-pint cups with lids, large, are mostly US$35.99–40.00. Mexican supplies remain limited, and the first F.O.B. report is expected the week of November 2. Chilean imports through Philadelphia are also expected to rise, with reporting to begin the week of October 26.

Cucumber
Mexican movement through Texas is slightly increasing. Prices are lower, with 1 1/9-bushel cartons medium mostly US$11.95–12.95 and large US$16.00–18.00. Quality is generally good. Shipments through Otay Mesa, California, are decreasing, while Nogales, Arizona, is seeing seasonal increases. Georgia supplies are steady, with medium mostly US$14.35–16.35 and fair quality US$6.35–8.35.

Green bell pepper
Movement from South Georgia is steady, with moderate trading. Jumbo and extra-large 1 1/9-bushel cartons are mostly US$10.35–11.35. California volumes are decreasing seasonally, while Mexican production through Nogales is increasing, with reporting expected the week of October 26.

Strawberry
California’s Oxnard and Santa Maria districts expect higher movement after weather-related harvest delays. Prices are slightly higher, with flats of eight 1-pound containers mostly US$22.00–24.00, and organic ranging from US$24.00–28.00. Mexico’s volume is rising, but not yet sufficient to establish a market.

Tomato
Mexican movement through Texas is expected to increase slightly. Prices are slightly higher, with vine-ripe two-layer cartons (4×4–4×5) mostly US$15.95–16.95 and 5×5–5x6s at US$13.95–14.95. California’s Central District is nearing season’s end, while Florida’s light harvest continues through October. The first F.O.B. report for new production areas is expected the week of November 2.

To view the full report, click here.

For more information:
USDA
Tel: +1 (202) 720-2791
Email: press@usda.gov
www.mymarketnews.ams.usda.gov

Frontpage photo: © USDA Publication date: Thu 23 Oct 2025

« Nous nous engageons en faveur de l’asperge verte, bien qu’elle nécessite beaucoup de main-d’œuvre » par FreshPlaza

Paco García, directeur technique de Biosphera :

« Nous nous engageons en faveur de l’asperge verte, bien qu’elle nécessite beaucoup de main-d’œuvre »

Il existe des entreprises qui se distancient de la production de légumes à grande échelle et qui se consacrent à des cultures minoritaires, comme l’asperge verte et l’asperge blanche. Il est encore possible d’aller plus loin et de se différencier davantage si l’on parle de cultures biologiques et biodynamiques, ce qui est plus compliqué compte tenu de la force des parasites et des changements climatiques que nous subissons.

« Nous nous consacrons à la production et à la commercialisation de fruits et légumes biologiques et biodynamiques, notamment les fruits à noyau, les brocolis, les choux-fleurs, les choux, les laitues, les melons et les pastèques, entre autres. Nous sommes spécialisés dans les asperges vertes et blanches. Nous pensons que, parmi les grandes cultures espagnoles, nous devons nous différencier et c’est là notre stratégie. Nous misons sur l’asperge verte, bien qu’elle nécessite beaucoup de main-d’œuvre », souligne Paco García, directeur technique de Biosphera, car « nous n’avons pas recours à la mécanisation. »

« Nous avons environ 100 hectares d’asperges vertes et blanches et nous commencerons en janvier jusqu’à la fin du mois d’avril. Nous sommes les seuls à pratiquer cette culture dans la région », explique M. García, qui ajoute que cela s’explique par le fait que « l’asperge est une culture rustique, même si elle n’est pas très menacée par les parasites, et qu’elle exige beaucoup de technique. »

Au total, « nous travaillons jusqu’à 500 000 kg par an, ce qui est très apprécié en Allemagne et en Suisse. C’est une culture permanente qui demande un investissement assez important, on ne l’arrache pas et on ne la sème pas tous les ans. Elle nécessite un entretien annuel, mais les plantes peuvent germer jusqu’à 8 ou 10 ans. »

En ce qui concerne l’approvisionnement en eau, « ce n’est pas une culture pluviale, mais il est vrai que l’eau doit être juste ce qu’il faut. Elle n’a pas besoin de beaucoup de froid, mais plutôt de lumière et de soleil et de températures relativement élevées pour sa date. »

Entre tout cela, « nous avons 800 hectares de cultures d’été et d’hiver qui sont principalement destinées à l’Allemagne, la Suisse et la France, entre autres. Je dirais que les fruits à noyaux sont notre point fort avec environ 6 millions de kilos par an. »

Comme c’est le cas dans de nombreuses entreprises de culture, « nous travaillons pour les supermarchés et dans le cadre de programmes. C’est bien de servir les marchés, mais pas en tant que client principal, car il y a trop de défis à relever dans l’agriculture pour planter sans savoir où l’on va. »

« Nous ne travaillons qu’avec des produits biologiques et biodynamiques. Si, dans le premier cas, les restrictions sont fortes, dans le second, les limites sont encore plus importantes. Ce ne sont pas des cultures faciles, mais pour l’instant, il est rentable de les maintenir parce qu’il faut se différencier et ajouter de la valeur à ses produits. Les clients apprécient ces techniques de production et reconnaissent leur valeur élevée en termes de prix. »

Pour plus d’informations :
Paco García
Directeur technique
Biosphera
Tél. : +34 667 49 55 95
pgarcia@biosphera.es
www.biosphera.es Date de publication: jeu. 23 oct. 2025

© FreshPlaza.fr / Lydia González

La plus grosse myrtille au monde cultivée en Nouvelle-Zélande par FreshPlaza

La plus grosse myrtille au monde cultivée en Nouvelle-Zélande

La plus grande variété de myrtille au monde, connue sous le nom d’Eterna, sera bientôt cultivée et vendue en Nouvelle-Zélande. Les baies, décrites comme atteignant la taille d’une balle de ping-pong, sont plantées dans les régions de Kerikeri et de Waikato.

La Fresh Berry Company, qui cultive et commercialise des baies dans toute la Nouvelle-Zélande, a confirmé un partenariat avec le producteur international de baies Driscoll’s pour introduire cette variété. Le directeur général Simon Tallon a déclaré que l’une des myrtilles Eterna cultivées en Australie détient le record mondial Guinness de la plus grande myrtille, avec un poids de 20,4 grammes.

Il a précisé que tous les plants importés étaient testés par le ministère des industries primaires pour s’assurer qu’ils étaient exempts de parasites et de maladies avant d’être mis à la disposition des producteurs. “Ces plants sont ensuite acheminés vers la culture de tissus et nos pépinières commerciales, où nous les transformons en plantes commerciales pour nos exploitations et les producteurs externes”, a expliqué M. Tallon. “L’objectif principal est toujours d’obtenir de meilleures baies, des baies plus fermes, une meilleure durée de conservation et, en fin de compte, des fruits qui ont un bon goût.

M. Tallon a indiqué qu’un nombre limité de grandes myrtilles devrait arriver dans les rayons des supermarchés à la fin de l’année 2026.

La société prévoit également d’ouvrir sa première exploitation de baies de l’île du Sud à Nelson l’année prochaine. “Toute notre production est couverte par des tunnels en plastique, à l’exception de certaines myrtilles qui sont exportées”, a déclaré M. Tallon.

Il a ajouté que les exploitations de la société et les producteurs de Hawke’s Bay, Waikato et Northland s’attendaient à une bonne saison de fraises jusqu’à Noël. “Nous nous attendons à un volume assez important cette année pour que les consommateurs puissent déguster des fraises, des myrtilles, des framboises et des mûres”, a-t-il déclaré.

Selon M. Tallon, les ventes totales de baies en Nouvelle-Zélande ont atteint environ 72 millions de dollars l’année dernière.

Source : FarmersWeekly Date de publication: mer. 22 oct. 2025